poeme en tout genre

La lumière noir

La lumière du soir

La lune est ma maîtresse

Mais elle est pourtant si traîtresse

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Pour nous permettre de réfléchir

Ou pour écouter nos soupire

Elle est toujours la...

Elle ne bougeras pas...

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Elle peux nous écouter

Ou bien nous guider...

Elle peux nous aider

A penser...

-

Elle nous rassemble

Tous, les un ensemble

Mais nous sommes si peux

Ou si nombreux...?

-

Elle nous permet de nous voir

A travers ce grand miroir...

De croiser nos regard

Sans besoin de se rendre a la gare...

Ton amour

Vaut bien tout les détour

Mais simplement, accepteras-tu

Que je passe par les sentier battu?

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Pour te rejoindre

Je n’ai pas besoin de feindre...

Ce que je ressent pour toi

Est plus claire que ma propre foi...

-

Peux importe ce que tu veux

J’exaucerais tes voeux...

Même si pour cela je dois parcourir des kilomètre

J’irais jusqu’a la limite de mon être...

-

Je me rebellerais

Contre tous ceux qui te contraindrais

Je te chérirais

Ou bien périrais...

-

Un de ses soir

Je t’apporterais une rose noir...

Et une autre blanche

Car tu es un ange...

Ce soir j’ai pleuré

Pleuré de ne pouvoir te parler...

A toi j’ai réfléchie

Ma volonté n’a toujours pas fléchie

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Pour toi j’ai prié...

Prié que tu puisse m’aimé

J’ai marché dans le noir

Mais pourtant je pouvais te voir

-

J’ai admiré les étoile

Cela me permis de te t‘apercevoir,

Comme a travers un voile

Alors j’ai continuer a marché le soir...

-

Seul de ma marche funèbre

Seul dans les ténèbres..

Seul a réfléchir

Seul a me languir..

Que je puisse te regarder au fond des yeux

Et danser dans tout ce feu...

Contempler ton âme

Semblable a une flamme

-

Que ce feu se laisse dompter

Sans me brûler

Sans pour autant que se soit facile

Après tout un brasier grésille

-

Ou bien plonger en toi

Et y trouver un royaume du froid

Et que je puisse l’admiré

Ou bien m’y couper...

-

Un royaume du froid

Ou il n’y a aucune loi...

Ou je pourrais t’aimer

Ou bien me consumer...

Le désespoir

Probablement pire qu’un jour noir

Une journée sans lumière

Une journée ou mon cœur reste de pierre

-

Car je n’ai pu apercevoir ton visage

Je les pourtant chercher au milieu des nuages

Mais je me sui perdu

Dans de vain espoir pourtant déchu…

-

Esse un crime que de croire ?

Sans même voir…

Je sui pareille a un aveugle marchant

Dans une foule en te cherchant…

-

A force de tâtonner dans un monde sans lumière

J’ai finalement réussi a effleuré un morceaux de satin…

Qui t’appartenais, j’espère

C’étais si doux que cela ne pouvais ne pas être passer entre tes main…

-

Mais cette forme obscure ses vite détourné

De moi elle était dégoûtée…

J’ai tout de même continué à chercher…

A une fois de plus effleuré sa douce peau de satin

-

Je la suivi jusqu’au haut d’une falaise…

Ou elle c’était réfugié

Dans l’espoir qu’un aveugle éprouve un malaise

A escalader une montagne les yeux fermé…

-

Mais la douce promesse du contacte de tes main sur les mienne

Etais plus fort que toute cette peine…

Arriver en haut je cru apercevoir la lumière

Emanant de toi et j’en fut fière…

-

Je rampais jusqu'à toi…

Mais arriver, tu me repoussa

Et comme je ne pouvais voir ou j’étais

Du haut d’une falaise je tombais…

-

Mais je souriais

Et pourtant pleurais…

Je n’étais pas déçu…

Car tu m’avais touché…et un peu de lumière j’avais reçu…

-

J’ai envie de pleurer

J’ai envie de sauter du haut d‘une fenêtre...

Pour enfin m’envoler

Hors du temps et hors de ma tête

-

Jamais libre, toujours enfermé

Dans l’enfer ou vive les damné...

Toujours attaché...

Toujours torturé...

-

Prisonnier de mes propre pensé...

serai je un jours libéré

De ta simple beauté

Qui ma pourtant tan torturé...

-

J’aimerais me faire bercé

Par la douce caresse du vent...

M’emportant hors du temps

M’emportant loin de ta beauté...

-

Je cherche dans mon coeur

La réponse a mes peur

Mais je ne les ai pas trouver

Mon coeur est cadenassé...

-

Pourtant j’ai tellement mal

Pourquoi alors je pui je rien ressentir

Qui vaille la peine que je le désire

Voila le grand bal de mes émotion, comme un récital...

La colère..

Pire qu’une nuit pleine d’éclaire

Lorsqu’elle vous ronge

Elle habite aussi vos songe...

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Une envie de détruire..

Et en même temps de fuir...

Une envie de frapper...

Sans pour autan vouloir se blessé...

-

L’envie de courir

Le besoin de bouger...

Et en même temps de dormir...

Pour pouvoir tuer...

-

L’envie de se battre...

L’envie de crier

Et même de hurler...

De simplement combattre...

-

D’extérioriser ce qui nous habite...

Qui nous ronge les tripe

Qui nous brûle les veine...

Tout sa car je sui en peine...

-

Je sent presque ma chaire brûler..

Se décomposer..

Comme activer par de l’acide...

Ou autre pesticide...

Il vous est déjà arrivé de passer une journée sans sourire ?

Une journée sans rire…

Une journée ou toute tes émotions

Ont décider de ne pas montrer leur front…

-

On tous ce que tu ressent

Est une total indifférence…

Où tu ne remarques même pas la décadence…

Et où tu ne sentirais même pas une gifle, sûrement…

-

Une journée ou même la violence faite au autre

Ne te concerne pas…

Ou rien n’es de ta faute…

Où ton moral est vraiment bas…

-

Ou toute tes penser son tourné vers une personne…

Où tu as l’impression d’être seul au monde…

Où ton cœur est comme une bombe…

Prêt a exploser, ses sur, sa résonne…

-

Ou toute tes penser

On une fois de plus lacéré

Ton cœur

Déjà en pleure

-

Où tu ne cesses d’espérer,

Te réveillé…

Pour enfin cesser d’hurler

Et oublier…

-

Une journée, ou une seul personne pourrais te libéré

En encore t’achever…

Simplement d’un sourire…

Ou encore d’un soupir…

-

Et ouvrir ton cœur

Et taire ta peur…

Au milieux des vague

A la merci des élément…

A la merci de tes penchant…

Je me noie dans une mer de sentiment

-

Mes dernière heure arrivé

Ses a toi que j’ai pensé…

Je n’ai même pas cherché à me débattre…

Je n’avais plus la force de combattre

-

Mais des larmes j’ai versé…

Lorsqu’en même temps

J’étais en train de couler

Mais je ne souhaite même pas revoir le printemps

-

Ton visage me suffit…

Et il est a jamais gravé dans ma mémoire…

Même si je n’ais jamais eu la chance de te voir…

Il y ai et ces ainsi…

-

Ce sera une longue agonie ?

A toi de me le dire puisque ses toi qui peux me sauver…

Ou bien encore, plus profondément me couler…

Alors, es que ses fini ?

je sais qu'il n'ai pas super...
mais vous pouvez toujours me le dire qu'il est null...

Enfin un surplus d’agressivité…

Fini d’être malmené…

Nous allons nous rebeller contre tous ces oppresseurs…

Contre tous ses profanateur

-

Nous allons vous montrer

Ce que nous pouvons former…

Ce que nous pouvons faire

Nous allons vous faire taire…

-

Une bonne fois pour toute…

En finir avec cette tyrannie…

Nous utiliserons la pyrotechnie…

Aller tous vous faire foutre !

-

Nous allons gouverner…

Et vous faire interner…

Fini le règne des popularités

Commence le règne des mal aimer